Thomas Fersen

Vêtu de son costard noir Thomas Fersen entre sur scène. À ses côtés, trois musiciens, au violon, à l’accordéon et à la guitare. Du Bal des oiseaux à Un coup de queue de vache, Thomas Fersen revisite son répertoire et nous raconte des histoires. Tout en chantant, il interprète son personnage d’adolescent éternel. Il parle de la puberté, de ces poils que le personnage ne possède pas, de ses premières rencontres amoureuses, de ses premières soirées. Les phrases sont construites sur un rythme poétique, les mots se lient les uns aux autres, les rimes se multiplient.
Sa présence sur scène est totale, il ponctue ses mots par des gestes qui renvoient au texte, accentuant le côté comique des propos. Et puis il danse. Il danse lors des chansons, joue avec le pied du micro. Il est touchant, drôle, léger.

« Je me suis amusé à inventer le journal intime de mon personnage, l’indécrottable adolescent nonchalant et paresseux… Autour de ce délirant journal, j’ai imaginé un spectacle où des extraits du livre viennent donner un éclairage inédit à mes chansons les plus connues. » Thomas Fersen

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